Quand j’ai voulu m’attaquer à Marguerite Yourcenar et à ses Mémoires d’Hadrien, il m’a fallu me rendre à l’évidence, c’était inaudible. Sa langue se lit, se goûte, elle ne se dit pas. Enfin, je n’accrochais pas. J’ai par contre plongé dans La mort du roi Tsongor de Laurent Gaudé. Avec délices (...)