Musique/Mademoiselle in New York

Lucienne Renaudin Vary a choisit la trompette, et ça lui va bien. A vrai dire, ça ne nous déplaît pas non plus… En 2016, elle remporte la victoire de la musique classique en catégorie « Révélation soliste instrumentale ». Elle a 17 ans.

Dans Mademoiselle in New York, qui n’est ni son premier, ni a fortiori son dernier disque, elle nous entraine dans ses choix musicaux : un florilège de classique, de comédies musicales et de jazz. Elle revisite de sa trompette Maurice Ravel, Darius Milaud ou George Gershwin, mais on y trouve aussi le Formidable de Charles Aznavour, à qui elle prête sa voix, fort jolie, ainsi qu’à plusieurs autres tel Bobby Hebb dont on retrouve le Sunny avec délice. Ce morceau qui clôture le disque a été enregistré en famille avec ses frères Bartholomé à la guitare, et Philémon à la basse. La musique semble être une histoire de famille. On prend aussi plaisir à réentendre des mélodies compilées du West Side Story de Leonard Bernstein. A ses côtés, sous la direction de Bill Elliott qui a accompagné tout le projet, le BBC concert orchestra lui donne une réplique énergique, composée à partir de nouveaux arrangements.

Le résultat est un cocktail aussi éclectique qu’enthousiasmant, un condensé de bonne humeur parfaitement réjouissant en ces temps de morosité, de grisaille et de pluie. Bref, c’est tonique, une ballade musicale très efficace pour chasser les nuages. Que vous dire d’autre ? On aime et on ne s’en lasse pas.

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